Articles parus dans le numéro de novembre 2000 d'En Equipe, journal des Chefs et Cheftaines Flambeaux français

Nouvelles des camps et du Rallye

camp + rallye

Nous sommes arrivés à Chamarges le 15 juillet 2000 gonflés à bloc et bien décidés à passer deux semaines géniales. D'ailleurs, on avait pas mal pour : les jeunes (12-15 ans) étaient enthousiastes et résolus à bien s'amuser, l'équipe d'animation était jeune, soudée et motivée et aidée par deux directeurs plus mûrs et efficaces. Et le soleil, ne l'oublions pas, s'est montré très clément et presque tous les jours.

Pendant ces neuf jours, où il n'y a pas eu - malheureusement - de temps pour une randonnée, l'objectif était de travailler (réfléchir) sur le sens de la "relation". Relation avec moi-même, avec Dieu, avec les autres. Le fil conducteur était présent dans nos activités, nos méditations. Une difficulté majeure (pour moi) a été le manque de préparation de notre équipe. Il a bien fallu, au bout du compte, découvrir sur le terrain les moyens que nous avions pour animer différentes choses… et parfois, c'était l'aventure. Nous avons improvisé des ateliers perles, bracelets, sport (foot, volley). Et tout s'est bien passé.

Au début du séjour, j'ai été découragée par le manque de participation que les jeunes manifestaient vis-à-vis des méditations et des discussions en groupe. Mais beaucoup d'entre eux étaient attentifs et réceptifs à la Parole de Dieu. Par la suite, quelques-uns ont été touchés par le témoignage d'autres campeurs (et campeuses !) qui étaient déjà en route avec Christ. Nous avons vraiment vécu des moments bénis. Merci Seigneur ! Le Rallye 2000 a été pour moi globalement positif. La rencontre avec les Suisses, notre jumelage m'a beaucoup plu. J'ai eu plaisir à voir tant de monde, à participer à tant d'activités. Bravo les organisateurs, c'était vraiment au point ! J'ai apprécié d'être bien informée sur les moments à animer (jeux, méditations). Je crois que le thème était très concret pour les jeunes, il mettait en valeur le fait que certains choix viennent d'eux, qu'ils sont, par exemple, réellement responsable de leur attitude vis-à-vis de Dieu. Pendant les méditations en groupe, j'étais vraiment comblés de voir les jeunes voulant toujours plus vivre en accord avec Dieu à l'école, à l'église ou dans leur famille. Savoir que Dieu est là, même au milieu de leurs doutes, leurs incertitudes, leurs questions, les encourageait. Dieu est présent et constant.

Adeline Nussbaumer (ancienne) cheftaine Colmar-Ingersheim

premier rallye pour le Geisberg

Ça y est ! C'est une première ! À quatre heures du matin nous sommes 32 sur 43 de notre groupe de Flambeaux et 5 amis à prendre place dans le bus en direction du Champ du Creux. Quatorze heures plus tard, nous voilà dans la vallée du Rhône. D'après la carte nous savons que le Champ du Creux est juste une vallée plus à droite. Arrivés à Chanaz, la route se resserre et il a même fallu faire marche arrière pour prendre le virage à la sortie de Chanaz. Les deux grandes tentes et l'inscription sur un grand portique le confirme, c'est bien ici le Rallye 2000 ! Ça y est, nous savons maintenant à quoi ça ressemble le Champ du Creux. C'est vraiment le site idéal pour le rallye 2000, une grande clairière, ensoleillée, entre "les côtes du Rhône" et "le mont Landard" à 435 mètres d'altitude. Malgré toutes les indications et recommandations que nous avions eu ces derniers mois par le comité d'organisation, nous nous sentions un peu perdu sur le coup, mais ça n'a pas duré. Le temps de décharger le bus, voilà qu'une claire flamme nous conduit à notre emplacement et c'était parti pour une semaine de Rallye sur les chapeaux de roue. Car à peine les tentes installées qu'il a commencé à pleuvoir. À plus tard les sardines, vite, toutes les affaires dans les tentes. Il n'a pas fallu dire grand chose, tout le monde s'y est mis. N'étant pas passé par l'accueil tout de suite, notre colis de départ est lui aussi resté sous la pluie et malheureusement les tickets de glace avec. Les tee-shirts du Rallye ont séché plus tard. Equipés de nos affaires de pluie, nous avons commencé à organiser la cuisine et avons fait le plein de vivres à l'économat pour le repas du soir. Les spaghettis ressemblaient beaucoup à la "boule de mil" africaine, mais c'était bon. Le premier soir lors de la cérémonie d'ouverture quand nous étions tous derrière le flambeau allumé de notre groupe tout autour du grand mât, on ne pouvait pas bien voir les drapeaux (suisse, français et celui du Rallye) jusqu'au moment où un coup de vent a bien mis en évidence les drapeaux. Alors un de nos jeunes a dit spontanément : c'est un signe de Dieu !
Les jours qui ont suivi étaient tous bien remplis et il m'est difficile de les résumer. Pour cela je voudrais citer quelques remarques de participants recueillis dans le bus sur le chemin de retour…

" Les soirées étaient cool ! Den-Isa chantait super bien ! "
" On s'est super bien amusé en particulier la dernière journée, on a fait une danse du Portugal avec nos jumelés de Vevey, "les Pieuvres". "
" Cette semaine était magnifique, j'ai aimé la soirée costumée ! "
" J'ai bien aimé la course d'orientation ! "
" Le Rallye 2000 est super cool, il s'est bien passé sauf qu'au début il pleuvait. "
" Au Rallye, ce qui me plaisait, c'était la meilleure sortie de toutes les sorties Flambeaux. "
" C'était super, les deux premiers jours il pleuvait et la dernière nuit aussi, même qu'il y avait beaucoup de tonnerre. "
" Nous avons fait une course d'orientation, nous avons monté la montagne, quel effort ! En faisant la course d'orientation nous avons recueilli deux autres groupes. "
" C'était super cool, surtout le défi de 1000 km. "
" Ça a créé des liens et nous avons vécu des moments forts dans présence de Dieu. "

Le message était clair : "Toi, Jésus le choix qui te bouge" et par-dessus tout je crois que nous avons réalisé que nous n'étions pas grand-chose face aux éléments (parfois déchaînés). Nous avons réappris à nous confier en Dieu… merci, Seigneur !

Pour le groupe du Geisberg,
Laurent Ehrismann

Matha au rallye

Le dimanche 23 juillet nous montions dans le car pour rejoindre d'une part Clermont-Ferrand, ensuite le Champ du Creux en Savoie. Nous voulons remercier Bob et sa femme pour notre nuit inoubliable à Clermont (musique "dance" et gros orage).
Arrivés au Champ du Creux, nous étions accueillis par de jeunes ami(e)s qui nous ont aidés à porter nos bagages à notre lieu de campement. Nous n'avions d'yeux que pour cet immense étendue avec des camps dans tous les coins. Deux grands chapiteaux couronnaient le tout.
Malgré la pluie, Dieu nous a donné le beau temps pour faire nos plus grandes activités : course d'orientation, ateliers, soirée festive.
Nous avons beaucoup apprécié Christine Cook pour les soirées ados et le groupe Den-Isa pour les plus petits, mais aussi le dynamisme de nos amis suisses et nous sommes reconnaissants pour l'amour fraternel qui a pu régner entre les divers groupes.
Pour notre part, le groupe de Matha, nous avons déjà repris contact avec nos correspondants.
Je voudrais donner un coup de chapeau pour tous ceux qui ont organisé le rallye : l'économat, les infirmiers, les amis, etc.
Notre groupe de Matha est revenu dans la joie, peut-être un peu fatigué, mais prêt à repartir pour dans cinq ans. Nous sommes reconnaissants à Dieu pour le bon déroulement du camp et pour le chemin du retour en car qui s'est très bien passé. J'espère que la Parole semée dans tous ces jeunes cœurs portera ses fruits.

Bien fraternellement,
Christine Cron

souvenirs du rallye

Avec la pluie qui tombe… se réveillent des souvenirs du RALLYE 2000. Merci de susciter nos impressions !
Tout d'abord, il est difficile de faire un bilan. Notre Dieu ne regarde pas aux circonstances extérieures mais voit dans le cœur et à plus longue échéance…
Je n'ai pas vraiment creusé auprès des enfants pour me prononcer… Pour ne pas être trop long, considérez comme élogieux ce que je passe sous silence. Bravo à toute la commission qui s'est activement efforcée de faire de son mieux ! Et même dans les affres de la météo, retenons ce qui est positif et formateur (solidarité…, imagination pour séchoirs et autres…).
Je me permets toutefois de donner un retour de ce qui est resté un peu en travers… Ayant, par ailleurs, participé à de nombreux congrès, je tiens à relever l'importance de la qualité d'accueil de l'équipe sur place. Ayant suivi le bus, je suis reparti sur Chambéry où m'attendaient deux personnes. De retour, sous une pluie battante, j'ai été déçu. Il est vrai qu'après un long voyage, la fatigue, le stress, des déboires, etc., on est particulièrement sensible à la patience, à la compréhension de personnes disponibles, donnant des informations précises, même prêtes à accompagner.
Le temps pluvieux ne se programme pas ! Mais que répondre aux réflexions me parvenant : "Pourquoi avoir retenu un terrain, entre le Rhône et le lac du Bourget d'avance connu pour être très humide ?" Je m'imagine la difficulté d'obtenir l'idéal en essayant de rassembler le maximum de paramètres.
Pour en revenir à l'accueil, avec un effectif de 1 400 je regrette de ne pas avoir trouvé une permanence d'une ou plusieurs "hôtesses" capables de répondre aux demandes, sinon d'orienter, avec les moyens de communications actuelles, vers le responsable concerné et compétent. Exemple : il m'a fallu plus de deux heures pour pouvoir brancher de la musique pour répétition de danses israéliennes, alors que j'avais à être avec un autre groupe, les jumelés, et l'œil sur les enfants et des aides encore adolescents…
J'ai été très sensible à la tolérance vis-à-vis de notre groupe notamment après le jeu d'orientation au "Prix de consolation". Toutefois, je vais dans le sens de ne pas décevoir et de prêter une attention particulière aux enfants encore petits, n'ayant jamais fait de camps et pour qui le Rallye est une première expérience dure et intense. Peut-être faudrait-il leur laisser, à la responsabilité du groupe, un "temps libre" malgré le temps court du rallye. À un certain moment, les enfants avaient tout simplement envie de faire une cabane en bois mort… mais ils sentaient une pression à cause des horaires.
J'ai recueilli aussi des réserves quant à ce qui dans le futur risque de devenir "trop massif". Est-ce profitable ? Bien sûr, un rallye ne remplace pas un camp et son côté intimité.
Un mot aussi sur l'hygiène qui serait à améliorer, sans parler des w.-c. et leurs odeurs… Pour les w.-c.-latrines, s'il n'y a pas de toit, au moins il faudrait trouver un abri pour le papier w.-c. qui était régulièrement mouillé. S'il était aussi possible d'installer des possibilités de toilette (se laver) plus proches des groupes…
J'ajoute encore un manque de fléchage en provenance de St-Pierre-de-Curtille. C'est important de trouver aux intersections un signe qui fait flash pour éviter les "fausses routes".
Voilà en gros ce que j'avais à partager. Merci de tenir compte de tous les avis. J'en laisse encore un peu pour la suite, pour un petit topo, une anecdote, du vécu par rapport au groupe avec dessin à l'appui... le temps de faire mûrir et pondre.

Chaleureuses salutations en Christ , pour le groupe de Guebwiller,
Jean-Pierre Ferry

le rallye vu de Toulouse

Du 24 au 28 juillet 2000, les Flambeaux et Claires Flammes de France et de Suisse se sont retrouvés au Champ du Creux (au nord-est du lac du Bourget, en Savoie) pour vivre cinq jours d'aventures relationnelles, émotionnelles, spirituelles… et bien sûr sportifs et festifs.
Mille trois cents jeunes - et moins jeunes - se sont donc retrouvés à ce grand rassemblement "quinquennal" et nous étions ainsi 7 flambeaux et claires flammes et 2 cheftaines à représenter le groupe de Toulouse.
Voici quelques moments forts que je ne suis pas près d'oublier :
- Les trajets dans le train. À l'aller, tout s'est bien passé dans le compartiment entre Guillaume L. et ses origamis, Xavier qui cassait les bras de Marlène, Guillaume M. qui l'en empêchait, Delphine et Lucile qui criaient, Thierry qui se promenait dans les couloirs et moi qui essayais de finir ma nuit… Au retour : la fatigue de tous, le partage des restes de chips-pain-tomates, les fous rires des filles, le coucher de soleil par la vitre aux environs de Sète.
- L'immensité du campement. Imaginez plutôt : 1 km de champ où s'étendaient à perte de vue des tentes. Il y en avait partout : des grandes, des petites, des vertes de l'armée (les Suisses), des rondes…, et au milieu de tout cela, deux immenses chapiteaux de cirque.
- Notre premier repas sous la pluie…
- Notre première veillée sous le chapiteau : une ambiance du tonnerre (ça tombait bien : il pleuvait ce soir-là) ; le lever du drapeau sous les torches.
- La course d'orientation du mardi : l'excitation des enfants, la marche dans la forêt, la pluie dégoulinant sur nos ponchos, le sentier mouillé pour couper à travers la barre rocheuse afin d'arriver les premiers… Entre nous, "les derniers seront les premiers et les premiers seront les derniers", c'est bien vrai puisque l'équipe qui est arrivée une heure après tout le monde (des Toulousains !) a gagné. Comme quoi…
- La tête de Guillaume L. quand papa, maman, Christèle et Romain sont arrivés le mardi après-midi. Ils tombaient vraiment bien, à un moment où on en avait tous marre de la pluie, du froid, de la préparation des repas… bref, quand le moral de la troupe était un peu bas. Famille, je t'aime, tu sais, surtout quand tu arrives toujours au bon moment pour nous remotiver !
- Le beau temps du mercredi et du jeudi.
- Les "activagogos" du mercredi où tous les jeunes avaient la possibilité d'aller dans 3 stands différents pour apprendre de nouvelles tehcniques : les danses du Far-West, la peinture sur tissu, sur verre, la thèque, le jonglage…
- Les bancs en bois réalisés par Xavier et Guillaume M. pendant les activagogos. Ah, enfin on peut s'asseoir sur autre chose que de la boue !
- La grande journée du jeudi avec la préparation de notre danse africaine avec nos jumelés, les déguisements et le grand spectacle du soir où presque tous les pays du monde étaient représentés en chant, sketch, jeu, danse…
- Les louanges avec Den-Isa, les grands sourires d'Isabelle, l'entrain des jeunes, la chanson de "Dans la vie, y'a des hauts et des bas, ça va couci-couça, mais tu sais quoi dans tout ça , c'est cool, Dieu sera là !!!" et puis tous ces chants du JEM connus et très connus et qui restent pourtant tellement beaux, surtout quand 1 300 personnes se lèvent pour chanter Dieu de tout leur cœur.
- Les messages de Chris Cook sur Toi - Jésus - Choix - Bouge. Des mots choc, à vivre pleinement.
- Nos chers petits blessés - sans gravité, je vous rassure - Thierry et sa cheville, Lucile et sa nuque.
- Nos chers jumelés et leur charmant petit accent...suisse ! Ah, ils étaient vraiment supers ! Dès le premier jour, ils sont venus nous voir, nous ont demandé "comment ça va bien ?". À chaque réunion, on était ensemble ; pour le pique-nique du mardi, on a pu mieux faire connaissance ; et alors pour la grande fête, quelle joie de danser ensemble à 60 ! Je n'oublierai pas non plus l'échange des cadeaux et leurs expressions de reconnaissance devant notre joli mobile en pâte à sel… Vraiment, il faudra qu'on continue à garder le contact avec eux. Euh, d'ailleurs, ils nous invitent à Cossonay… J'ai dit que j'en parlerais à mon pasteur because nous pas être très riches… Mais bon, c'est une autre histoire !
- Les toilettes : trou / siège en bois / bâche ; et les douches : bâche / pommeau de douche / eau froide… D'ailleurs, j'ai ouï dire que parmi les garçons dont je ne citerai pas les noms, y'en a qui ne se sont pas douchés pendant les 5 jours… Hein, Guillaume L., Xavier, et Thierry ? ? ?
- Le défi qui consistait à relier le groupe le plus à l'ouest de la France au groupe le plus à l'est de la Suisse : soit 1 000 km. Eh bien, chaque personne, par groupes de six, devait courir 1 km. Bravo aux flambeaux et claires flammes - et aux animatrices - de Toulouse qui ont bien couru. Le défi a été gagné puisque, au total, nous avons parcouru 1 030 km dont 15 km réalisés par notre groupe (sachant qu'on était 9 et que Delphine et Guillaume ont couru 3 km de plus chacun ! Ah, increvable, ces jeunes !)
- Le méga-giga-super orage le vendredi à 4 heures du matin. Entre l'éclair et le tonnerre, il n'y avait qu'une seconde. Extrait de ce qui se passait sous les tentes : "Anne-Laure, j'ai peur ! Moi aussi, Hélène ! Et si on chantait ? Oh oui ! " Ne crains pas la tempête, reste tranquille... " BOUM ! Ouh la la, on dirait qu'il se rapproche.. Et si on priait ? Mon Dieu, fais que l'orage s'éloigne, protège-nous et garde les enfants, oui c'est vraiment toi le Dieu tout-puissant (on n'en a jamais douté, d'ailleurs !)". Et blotties l'une contre l'autre, Anne-Laure et Hélène n'étaient pas très, très fières… Au bout d'un quart d'heure, en cheftaines responsables qu'elles étaient, munies de leur pyjama, de leur poncho et de leur torche, elles allèrent voir ce qui se passait chez leurs flambeaux et claires flammes. Du côté des gars, rien à signaler : ça rigolait, ça se faisait peur… Et du côté des filles, à la question bête (mais désolées, en pareilles circonstances…) du "Comment ça va ?", Marlène répondit de vive voix : "Y'a une rivière dans la tente !" Allez les recoucher après ça…
- Les doigts qui se sont levés, les têtes qui se sont inclinées, les petites vies qui se sont données au Seigneur quand dans la dernière soirée, Chris Cook a fait un appel.
- Le lâcher de ballons, le vendredi matin avant le grand départ. Mille ballons flottant dans le ciel comme pour nous dire que tout ce que l'on avait vécu, c'était pas fini et que notre avenir était dans les mains de notre Dieu.
- …
Voilà, c'était tout ça le Rallye, et bien plus encore… y'aurait tant à ajouter !
Un grand MERCI à toi, Dieu notre Père, qui nous as tous rassemblés dans ton grand amour, qu'on soit venu de France ou de Suisse. Merci parce que c'est toi qui as permis que tout se passe bien malgré certaines circonstances difficiles, pour ta seule gloire. Que chaque flambeau, chaque claire-flamme fasse le seul vrai bon choix, celui de Jésus, le choix qui fait bouger la vie, la vraie…

Hélène Etchegoin


mise à jour: 04/12/00